Les acteurs de Plus Belle La vie ne sont pas là pour jouer
GAM 2019
ÉTAPE 5
Sur la liste des participants cette année, l’équipage 103 : Dounia Coesens et Ambroise Michel, anciens acteurs de la série tant plébiscitée en France, Plus Belle La Vie.
Pas de comédie
Les deux compères ne sont pas ici pour jouer la comédie, mais pour se surpasser sur le terrain. Et le duo plutôt joueurs, ne lâche rien face aux reliefs marocains. Novices, ils espèrent un bon résultat au classement pour leur sponsor, l’association « Mécénat Chirurgie Cardiaque ».
« Pour moi, c’est une carotte »
Dounia, déjà habituée au Raid « La Saharienne » avoue avoir l’aventure dans la peau. « Avide d’apprendre toujours de nouvelles choses, je cherche à vivre l’aventure à fond et à partager une expérience humaine hors du commun. Je suis heureuse de partager cette folie avec Ambroise ».
Pour elle, c’est aussi une façon de mieux se connaître et de tester ses limites. « Pour moi, ce genre de défi est une carotte pour tenir dans mon quotidien. Mon entourage me prend parfois pour un ovni et ne m’en croit pas capable. Mais je répond « Que voulez qu’il m’arrive ? » Je ne peux même pas me perdre », lance tout sourire, la trentenaire, présente sur les petits écrans depuis une quinzaine d’années. Avec son permis en poche depuis un an 1/2, elle prend ici la casquette de navigatrice, avec l’envie de vivre des sensations fortes.
Une sensation de liberté
De son côté, Ambroise a attendu d’être surpris. « Je vise la performance pour moi et mon équipage, et j’espère aussi vivre une dimension spirituelle ». L’image des voitures épousant le désert est ancrée dans son esprit depuis tout petit. « Mais je ne savais pas dans quoi je m’embarquais ! Lorsque Dounia m’a proposé ce projet, j’ai accepté sans me poser de questions. C’est mon fonctionnement. Quand j’ai un bon feeling vis à vis des situations, ou des personnes, je fais confiance à ce que la vie m’offre. Mais, quand je me suis penché sur le sujet, je me suis rendu compte qu’il s’agissait de pilotes assez chevronnés et que c’était loin d’être tranquille », confie-t-il, le sourire aux lèvres.
Lui qui n’aime pas la compétition, choisit plus la sécurité que la prise de risque. « J’aime crapahuter, s’il y a quelque chose à faire, je suis le premier à y aller mais pour le reste, je choisis la prudence ». Le jeune trentenaire s’est découvert une âme de pilote. « À la base, j’aime conduire, mais piloter, c’est une vraie sensation de liberté. Par contre, je laisse la responsabilité de la navigation à ma coéquipière, sinon on est pas rentrés ! J’ai essayé, résultat, on s’est totalement perdus ».
Tous deux rentreront, sans aucun doute, des étoiles dans les yeux. C’est d’ailleurs fort possible que Dounia reparte pour un tour prochainement ! « Maintenant que je connais et que j’ai appris de mes erreurs, j’ai envie de faire mieux ! » conclut-elle. Bientôt Gazelles ?